Il est bizarrement des ouvrages qui passent sous mes radars. C’est le cas du premier roman de Thierry Werts, "Demain n’existe pas encore", publié il y a déjà plus de trois ans et que je viens de terminer. C’est une très belle découverte qui montre encore une fois que la qualité d’un écrit ne dépend nullement du nombre de pages.…