Lolvé Tillmanns fait partie de ces auteurs suisses romands que j’affectionne particulièrement. Je l’avais découverte à travers « Les Fils », un roman particulièrement attachant qui m’avait bousculée. Je viens de refermer « Rosa », écrit auparavant, et l’impression est la même qui oblige à faire une pause, à se remettre, à respire…