Il y a d'abord la couverture, un ciel bleu nuit, des oiseaux noirs et une maison stylisée légèrement éclairée, la silhouette d’un if. Nous sommes assurément dans le sud. Et puis il y a le titre, mystérieux, "Les silences d’Ogliano" qui sonne à mes oreilles…Elena Piacentini nous livre là un magnifique premier roman en littérature blanche.…
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