Sans doute parce qu’une traduction – aussi excellente soit-elle – me donne l’impression de placer un filtre entre l’auteur et moi, je me détourne souvent de la littérature étrangère. Mais la lecture de "La dernière interview" d’Eshkol Nevo, auteur israélien, me démontre que j’ai tort. Ce roman, traduit de l’hébreu, est tout simplement…