Il m’avait été préconisé de lire "Einstein, le sexe et moi" d’Olivier Liron accompagné de coca et de madeleines.
Mais c’eût été plagier l’auteur, je l’ai compris après. Je me suis donc contenté d’une eau qui pétille, fleure bon le sud, les pins, le soleil et rappelle le chant des cigales. J’ai trempé mes lèvres dans le verre et me…