De Julie Estève j’avais aimé le premier roman "Moro-Sphynx", encore davantage le deuxième "Simple". J’ai retrouvé l’auteure avec un immense plaisir dans ce troisième opus "Presque le silence". J’ai aimé celui-ci aussi pour cette manière qui lui est propre de parler des gens avec humanité, de les décrire avec minutie, de les étudier en profo…
Il en est souvent ainsi du deuxième roman d’un auteur dont j’ai beaucoup aimé le premier. Je commence toujours la lecture avec, à la fois, espoir et crainte : l’espoir d’être à nouveau emportée, subjuguée, ravie, et la crainte d’être déçue. "Simple" de Julie Estève n’a pas dérogé à la règle. J’ai d’ailleurs attendu avant d’o…