Lorsque je rédige la chronique d’un livre que viens de terminer, j’emploie souvent les termes "J’aime" ou "Je n’aime pas". Un roman, on l’aime pour certaines raisons, ou pas pour d’autres et même quelquefois les mêmes. Mais pour ce qui concerne "Tête de tambour", le premier de Sol Elias, je ne pourrai vraiment pas les utiliser.…
Lire la suite