En troquant "La belle lumière" pour "Les ciels furieux", Angélique Villeneuve a certes changé de continent, de personnages, quelque peu de siècle, et d’environnement, bien sûr, mais elle conserve ce désir de luminosité et, encore une fois, au milieu des ténèbres, distille cette petite lueur que l’on appelle l’espoir.…
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