Eté 1958. Portoroz, ville de l’ancienne Yougoslavie. Il fait chaud dans cette salle où une foule de spectateurs fait cercle autour de deux joueurs d’échecs qui s’affrontent, en chemise, dans la chaleur étouffante. L’enjeu est de taille : il s’agit du tournoi interzonal, préparatoire au prochain championnat du monde. L’un est David Bronstein…
Lire la suite