C’était il y a plus d’un an. Du roman de Léo Betti, "Rampants des villes", je disais "C'est triste, c'est noir, oui, mais voilà, je ne l'ai pas lâché." Aujourd’hui, la dernière page de son nouvel ouvrage "Limite vide" tournée, je pourrais écrire exactement la même chose. Tel Pierre Soulages, ses toiles, il peint ses personnages à l’outre-no…
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