Samedi, 17 Mars 2018 : 11h : début des hostilités avec une dictée publique, écrite et lue par Fabienne JUHEL. Une trentaine d’amoureux de la belle orthographe étaient présents et attentifs. 15h : visite du salon et conversations avec des auteur(e)s. Ils étaient 27 et même si je n’ai pu échanger avec tous, ils furent nombreux à m’écouter. Je citerai Jérôme ATTAL dont j’ai beaucoup aimé « L’appel de Portobello Road », Yvon COQUIL, auteur de romans noirs aux allures de policiers proches du prolétariat. Je venais de terminer son dernier ouvrage « Métal amer« , recueil de nouvelles plutôt sombres, publié chez Sixto, petite maison d’édition spécialisée dans les romans noirs, polars, thrillers et bandes dessinées. Il a aussi collaboré à une BD illustrée par Briac « Quitter Brest », toujours chez Sixto, Claire BARRE, dont je reparlerai plus tard, Patrick DENYS et son « Père inconnu », couronné par le prix des lecteurs de Quintin, Erwan LARHER, affable comme toujours, souriant, drôle et qui ce jour-là était heureux d’être en possession de l’ensemble de ses écrits, Dominique MANOTTI et ses romans ancrés dans la réalité d’aujourd’hui, Angélique VILLENEUVE, Carole ZALBERG, dont j’ai adoré « Je dansais », Ali ZAMIR, venu de Montpellier avec « Mon étincelle », son deuxième roman… et tant d’autres auteurs, donc, que je n’ai pas croisés… Je n’oublie pas, non plus, Fabienne JUHEL, notre prof de français d’un jour, et « La femme murée » |
Dimanche 18 Mars 2018 : 11 heures : au cinéma Le Rochonen, table ronde animée par Fabienne POLLET sur le thème « Faire un récit à partir d’un vécu personnel et collectif » avec Claire BARRE pour « Pourquoi je n’ai pas écrit de film sur Sitting Bull », une histoire troublante où il est question de chamanisme, Dominique MANOTTI avec « Sombre sentier » dans lequel elle se sert de sa propre expérience de syndicaliste pour trousser un roman policier assez noir qui se déroule dans le quartier du Sentier à Paris et Erwan LARHER pour son objet littéraire « Le livre que je ne voulais pas écrire » qui parle de « son » Bataclan. Moment véritablement passionnant ! |
Ca fait envie ! 😉
Oui, j’adore ce genre de petit salon à taille humaine (27 auteurs, tu te rends compte !). Ambiance vraiment chouette !